Les eaux déchaînées
Quand l’écume mousse et que l’eau glacée éclabousse son visage, Dimitri Marx est heureux.
Quand l’écume mousse et que l’eau glacée éclabousse son visage, Dimitri Marx est heureux.
L’athlète suisse le plus brillant de la relève du canoë vient de Berne et a déjà passé plus de la moitié de sa vie dans un canoë.
Sur l’eau, je
suis tout simplement
moi-même.
Un des parcours préférés de Dimitri Marx se trouve chez lui, sur l’Aare. Presque chaque jour, on peut apercevoir le Bernois sur les eaux bleu-vert, car c’est ici qu’il entraîne ce dont il a besoin pour son sport : la force, la bravoure et l’endurance.
Six jours par semaine, Dimitri consacre une bonne partie de son temps à son sport. Pour lui, il n’y a pas de meilleur entraînement que de lutter contre les puissants courants.
Lui arrive-t-il aussi de pagayer pour le plaisir ?
« Bien entendu ! Justement chez moi sur l’Aare, avec des amis, j’oublie parfois la compétition – mais un si beau canal avec des virages serrés et sans rochers, c’est aussi cool. C’est juste une tout autre manière de naviguer. »
Il suffit de jeter un coup d’œil à ses résultats aux compétitions pour réaliser que le jeune homme de 21 ans a toutes ses chances :
En tant que sportif d’élite, Dimitri Marx le sait bien :
« Il n’y a rien de plus important que la santé. C’est pour cela que je me suis inscrit comme donneur de cellules souches du sang. L’enregistrement ne prend que quelques minutes et on peut sauver une vie. »
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